Les Rochelais savourent mais avouent avoir eu très peur

Les Rochelais savourent mais avouent avoir eu très peur

10 septembre 2022 - 19:08

3 Commentaires

Ce samedi après-midi, le Stade Rochelais a frappé fort en s’imposant sur la pelouse du LOU Rugby à l’occasion de la deuxième journée du Top 14 (21-23).

Interrogé via L’équipe à l’issue de la rencontre, le manager Rochelais Ronan O’Gara a apprécié la prestation des siens malgré un gros passage à vide lors des cinq dernières minutes de jeu. Extrait:

« On a oublié de jouer au rugby pendant cinq minutes mais il faut féliciter les joueurs pour toutes les autres. On est une équipe plus forte et c’est difficile de se faire une place dans les 23. On a mis une grosse densité physique. On n’a pas toujours fait les bons choix en attaque sinon le score aurait été plus lourd. »

De son côté, le talonneur Pierre Bourgarit évoque une fin de match difficile en raison d’un relâchement. Extrait:

« On ne va pas faire la fine bouche même si les dernières minutes sont difficiles à cause d’un relâchement, de fautes bébêtes. C’est un match maîtrisé. Quand on met tous les ingrédients dans l’engagement, notre jeu est en place. Tout en restant humble, je ne nous ai pas sentis inquiets. »

Pour sa part, l’arrière Brice Dulin avoue avoir stressé en fin de match. Extrait:

« Les dernières minutes ont été stressantes. Mais on voit que quand tout le monde est au rendez-vous, quand on déroule collectivement, qu’on est lucides et patients, il est difficile de nous renverser. On a été beaucoup plus disciplinés que lors de la première journée et on a donné beaucoup moins à manger aux Lyonnais qu’à Montpellier, ça nous a permis de jouer haut et de les mettre sous pression. »

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3 Commentaires

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  2. Bibi 10 septembre 2022 at 19h- Répondre

    Y’a une erreur d’orthographe dans le titre !
    avouENT

  3. Les2tours 10 septembre 2022 at 20h- Répondre

    Mais pas d’erreur sur le vainqueur

  4. Pilou 11 septembre 2022 at 08h- Répondre

    Si le quatuor arbitral fait son job et ne valide pas l’essai lyonnais avec une dernière passe en avant d’au moins 1 mètre, ils ne se seraient pas fait peur.

    Sur cet essai, le réalisateur a envoyé les ralentis sous tous les angles ne permettant pas de voir l’en avant, du grand art !

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